Nos étapes au Mexique
Nos étapes au Belize
Nos étapes au Guatemala 
Nos étapes au Salvador 
Nos étapes au Nicaragua 
Nos étapes au Costa Rica 
Nos étapes au Panama 
Nos étapes en Colombie 
Nos étapes en Equateur 
Nos étapes au Pérou 
Nos étapes en Bolivie
Nos étapes en Argentine
Nos étapes au Chili
Nos étapes en UruguayNous avons quitté San Salvador avec la pluie..
Arrivés a Managua, capitale de Nicaragua... Il pleut.
Ville sans intérêt, que nous quittons avec la pluie, le lendemain, pour LEON, seconde ville du Nicaragua.
A Léon, bien entendu il pleut... Pas toute la journée, mais presque. En principe, il ne devrait jamais pleuvoir avant 16h...
En fait, ça pleu, comme ça veut.
Sitôt installés dans nôtre auberge, nous décidons de faire l'ascension d'un volcan actif. Dans ce pays le choix ne manque pas. On dit que c'est le pays qui compte le plus de ces montagnes-cheminées.
Notre choix se porte sur TELICA, l'un des plus proches de León. Trois heures de montée à un bon rythme et deux bonnes heures de descente.
On peux monter sans guide, le chemin est assez simple à suivre mais, les bus ne nous laisseraient que très loin de la montagne allongeant considérablement le temps de marche. Avec la menace permanente de pluie, ce ne serait pas très prudent. L'avantage de prendre un guide permet d'être amené en 4X4 au plus près de la montagne, et donc à trois bonnes heures du cratère.
Départ samedi à 7h de Leon. Avec nous un jeune couple d'Autrichiens et bien sûr le guide local.
On tire à un très bon rythme. Moi.je galère un peu dans les grosses montées. Maria à une meilleure forme. Mais, dur, dur, on suit...
Le sentier est assez pénible. Terre volcanique, jonchée de blocs de roches crachées par le volcan au fil de ses éruptions. La dernière en 2011...
Tout proches du sommet des vachers félicitent mamie et papi pour leur endurance. Ca fait plaisir.
Arrivés au poste de surveillance automatique du volcan une pluie fine tombe et le cratère est bouché par la vapeur et la fumée. Le guide nous propose d'attendre ici que la pluie cesse et que le cratère se dégage, car il ne faut pas rester au bord du trou trop longtemps à cause des gaz qui se dégagent.
La pluie cesse et un coup de vent chasse le nuage. On y va.
Impressionnant !! Au fond du cratère, la lave en ébullition. (Elle ne se voit rouge que de nuit)
Debout sur le bord peut être dangereux. Nous ne sommes pas dans un parc d'attractions ou tout est sécurisé. Si le bord cède c'est le grand plongeon, le dernier !
Je me couche au sol en supposant que mon poids reparti sur une plus grande surface ne doit pas faire céder le bord...
Je peux ainsi prendre des photos.
Ne voulant pas trop tenter le diable, je ne m'eternise pas. De toutes façons il va falloir bientôt partir.
Sitôt dans la descente, le ciel s'assombrit et aussitôt nous deverse ses grandes eaux.
On arrive au rendez vous avec le 4X4. Il n'est pas la. Nous sommes trempés. Les chaussures remplies deau.
Près de deux heures d'attente. Il arrive enfin. On va enfin rentrer.
Finalement, une excellente journée.
Cliquez sur les photos pour les agrandir !
Retour |